Nom + Madison Prénom(s) + Mélina et son deuxième prénom est Eléanor mais il est possible de le changer, tant qu'il commence par E, ça me convient. Date de naissance + Quand vous voulez mais il y a trente neuf ans Lieu de Naissance + Eile Domhan Métier + Au choix mais dans le milieu de l'art Statut Civil + Au choix Caractère + Au choix également, je souhaite d'une soeur qui a été faite grâce à l'imagination du membre qui souhaiteras la prendre sous son aile. Groupe + True love kiss can brake any curse

x Mélina est née quatre ans avant Kathlyn
x Elle a toujours eu un lien très fort avec sa soeur pendant treize ans
x Le jour de la mort de son père, elle a voué une haîne sans merci envers sa soeur et qui évolue de jour en jour
x A 17 ans, elle intègre une Fac d'Art
x A 29 ans, elle essaye de résonner sa soeur sur le fait qu'elle ne devait pas mettre leur mère à la rue mais sans réussite.
x Mélina a été la meilleure amie de Kathlyn pendant treize ans et puis du jour au lendemain, plus rien.

Pour le reste, je vous laisse carte blanche  

Voilà les passages de mon histoire où je parle de Mélina  
« Ça veut dire que je suis grande sœur d’une petite sœur ? »
Ma sœur, donc nommée Mélina souris tandis que le médecin me confit à mes parents qui me regardent tous deux, sourire aux lèvres tandis que mon père demande mon nom à ma mère. Mon père à la demande de Mélina me confie à ma grande sœur qui s’assois et me prends dans ses bras avant de me frotter le bout du nez avec son index, je lui attrape et le regarde.
« Kathlyn, c’est comme ça que tu voulais l’appeler non ? Elle s’appelle Kathlyn Madison. »

Quelques jours plus tard, je me retrouve habillée d'une robe noire et pleure toutes les larmes de mon corps, appuyée contre Mélina qui d’ailleurs depuis ce jour ne m’a plus adressée la parole puisqu’elle a toujours pensé que j’étais la fautive dans l’accident de notre père,  avant de jeter une rose sur le cercueil de mon père.

« Tu n’as pas le droit de renvoyer maman comme tu l’as fait Kat’. T’es égoiste, stupide et méchante. »  Je me retourne et fait face à Mélina avant de la regarder droit dans les yeux perchée sur mes dix centimètres de talons avant de rire narquoisement. « C’est moi qui suis égoiste ? C’est qui qui m’as abandonné quand papa est mort ? C’est qui qui a été mon amie, même ma meilleure amie pendant treize ans et qui du jour au lendemain m’a voué une haine sans merci. C’est moi peut être ? Vas-t’en Mélina. Tu es la peste incarnée tout comme maman. Ne reviens jamais ! » Je la regarde une dernière fois et lui claque la porte au nez avant de monter dans ma chambre et de m’asseoir sur mon lit.